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Trou XVII

La somptueuse revue suisse Trou publie son dix-septième numéro, illustré par les enluminures de Fernando Arrabal, les photos de Joël Tettamanti, les mots de Françoise Matthey, les images pop de John M. Armleder, ou encore les rythmes de Daniel Humair.

Information

  • @2007
  • 2.
  • \30€
  • E200
  • Zoui
  • 4français
  • }220 L - 300 H

Présentation
Association Trou
Trou XVII

Fondée en 1979, la revue d’art Trou propose à des artistes contemporains de toute tendance, invités par le comité de rédaction, de s’exprimer librement sur une vingtaine de pages. Près de 90 peintres, dessinateurs, sculpteurs, photographes, écrivains, musiciens, architectes, renommés ou non, ont présenté des œuvres inédites, en partie créées spécialement pour la revue. Fidèle à son esprit de diversité, le dix-septième numéro réunit cinq créateurs s’exprimant dans des genres très différents.

Mondialement connu, le dramaturge Fernando Arrabal est un créateur polyvalent qui s’exprime par le théâtre, le cinéma, la poésie, les arts plastiques. Son œuvre multiple a des accents mystiques, oniriques et provocateurs qu’on découvrira dans les techniques mixtes qu’il a spécialement conçues pour Trou.

Jurassien d’origine né au Cameroun, Joël Tettamanti parcourt le monde pour photographier, souvent en grand format, des paysages urbains et des architectures particulières qu’il rend avec un extraordinaire souci de précision et une poésie qui lui ont valu de nombreuses distinctions. Il confie à la revue une suite inédite d’architectures du monde entier.

Née à Strasbourg, Françoise Matthey vit dans les Franches-Montagnes (Jura suisse). Elle a publié six recueils de poèmes grâce auxquels elle a obtenu plusieurs distinctions, dont le Prix Schiller et le Prix de littérature française du canton de Berne. Le poème qu’elle propose dans ces pages a été écrit spécialement pour Trou.

Né à Genève, John M. Armleder est l’auteur d’un œuvre protéiforme qui lui vaut une réputation internationale. Ses installations, peintures, sculptures, photographies et autres créations, où percent l’ironie et une sorte de détachement, sont marquées par une réflexion sur les relations complexes qu’elles entretiennent avec leur environnement. L’artiste a créé pour Trou un ensemble de planches déroutantes, exploitant des illusions d’optique.

Daniel Humair, d’origine jurassienne, né à Genève, est l’un des meilleurs batteurs du monde. Il a joué avec les plus grands noms du jazz, et parallèlement à sa carrière de musicien, il peint, élaborant un œuvre à tendance expressionniste abstraite, présentée dans de nombreuses galeries du monde entier. Trou présente les deux facettes de son talent, avec une suite inédite de peintures sur papier et un disque contenant une composition, «Images sonores», spécialement créée et enregistrée pour Trou.

L’édition de tête de Trou XVII est enrichie d’une eau-forte et jet d’encre d’Arrabal, d’une photographie de Joël Tettamanti, d’une sérigraphie de Daniel Humair et d’une sérigraphie de John M. Armleder, œuvres tirées à 100 exemplaires numérotés et signés, et à 30 exemplaires hors commerce.

Le comité de rédaction est composé de : Josette et Konrad von Arx, Georges Barth, Jean-Pierre Girod, Umberto Maggioni, Eric et Roger Voser.