ART | EXPO

Tératologies

03 Nov - 01 Déc 2012
Vernissage le 03 Nov 2012

L’association Art Mandat présente «Tératologies». Sylvie Pic, artiste et commissaire d’exposition, a réuni autour de ce thème transversal les œuvres des plasticiens marseillais Véronique Verdier, Yasmine Blum, Jérémy Laffon et Hervé André.

Jérémy Laffon, Véronique Verdier, Yasmine Blum, Hervé André
Tératologies

Hervé André vit et travaille à Marseille.
Par son travail, peintures et dessins, textes, musiques et chant, Hervé Andréproduit des représentations de corps et une réflexion sur ces corps, d’un point de vue intime et social. Corps en acte à la recherche de leurs possibilités exprimés par des techniques dont la maîtrise est toujours celle de la mesure d’un corps: le geste dessiné ou peint, la voix, la pratique instrumentale.

Yasmine Blum vit et travaille à Marseille.
«Lupanar» est une série de dessins dont le nombre est sans cesse en progression.
Collection de chimères composées essentiellement d’insectes, de crustacés, de gastéropodes, de poissons des grands fonds et de corps humains, elle peut ressembler aux créatures des mythologies antiques ou à certains monstres de science-fiction.

Jérémy Laffon vit et travaille à Marseille.
Au premier abord, les Å“uvresde Jérémy Laffon chatouillent l’imaginaire du spectateur par un sens de l’absurde manié avec légèreté, images concises et formes simples qui explorent le potentiel évocateur de leurs éléments constitutifs: objets liés à des activités de la vie ordinaire tels que balles de ping-pong, toupies, annuaire du téléphone, douilles de carabine, chewing-gum… et autres ustensiles ou accessoires qui ne renvoient pas tant à l’univers du jeu à proprement parler que plus largement à un certain type d’activités qu’on situerait quelque part entre la catégorie des petits travaux et celle des hobbies.

Véronique Verdier vit et travaille à Marseille.
Les photographies de Véronique Verdier se passent des contingences de quelque événement extérieur. Le sujet est fabriqué de toutes pièces et n’a de réalité qu’éphémère, pour et par le temps de la prise de vue. La séance terminée, le référent est définitivement perdu. Les images obtenues en sont les uniques traces.

critique

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