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Aphorismes, proverbes et expressions # 43 et # 44

13 Jan - 10 Fév 2009
Vernissage le 13 Jan 2009

Les installations de Francine Flandrin F2 sont des représentations littérales d’une expression, d’un proverbe ou d’un aphorisme, ayant le plus souvent trait au temps. Ces deux nouvelles installations se jouent de l’expression "Pas si bête" et "J’en perds la tête".

Communiqué de presse
Francine Flandrin F2
Aphorismes, proverbes et expressions # 43 et # 44

# 43 : J’en perds la tête. Victoire de Samothrace
# 44 : Pas si bête

Aphorismes, proverbes et expressions sont des représentations littérales d’une expression, d’un proverbe ou d’un aphorisme ayant trait au temps (le plus souvent), et dont le commanditaire est la Paul-Louis Flandrin Galerie, célèbre antiquaire parisien.

Chaque installation est le concept d’un Zadig égaré par le langage, interprétant les expressions dans leur sens le plus brut, chacune met en situation un objet ancien et précieux avec un vocabulaire plastique minimal : carton, plâtre, ficelle…

Evénement

Jeudi 29 janvier à partir de 18h. Discussion à partir de 19h30.
Signature, rencontre avec Arlette Sérullaz et Edwart Vignot, à l’occasion de la parution chez Citadelles et Mazenod de Le bestiaire d’Eugène Delacroix.

Paul-Louis Flandrin Galerie invite à une rencontre, signature, jeudi 29 janvier à partir de 18h, de Arlette Sérullaz – conservateur général du Patrimoine, ancienne directrice du musée Delacroix – et d’Edwart Vignot – historien d’art, journaliste -, à l’occasion de la parution aux Éditions Citadelles et Mazenod, de Le bestiaire d’Eugène Delacroix.

Un bestiaire inédit, composé d’oeuvres sélectionnées parmi les plus grandes collections publiques et privées, révélant l’insolence créatrice d’Eugène Delacroix et sa fascination pour le mouvement.

« Les tigres, les panthères, les jaguars, les lions. D’où vient le mouvement que la vue de tout cela produit chez moi » écrivait Delacroix dans son Journal le 19 janvier 1847.

En fait, les études d’animaux jalonnent toute sa carrière. Très jeune, sous l’influence de son ami Géricault, il dessine de nombreuses études de chevaux tandis qu’il est fasciné par la beauté des fauves étudiés au Jardin des Plantes en compagnie de Barye.

Ces études plus ou moins poussées ont donné naissance autour des années 1850 aux grandes compositions tourbillonnantes des chasses (chasses au lion, au tigre…), enchevêtrement d’hommes, de chevaux, de fauves d’une extraordinaire puissance dynamique.

A ces deux thèmes de prédilection, doivent s’ajouter les oeuvres plus personnelles que Delacroix exécuta d’après les animaux domestiques ou exotiques. Au-delà de ces oiseaux ou de ces mammifères, il y a cet univers moins connu, peuplé de serpents, dragons, hippogriffes et autres centaures que l’artiste explora tout au long de sa vie.

Si comme l’affirmait Eugène Véron en 1887 : « tout a été dit sur les animaux de Delacroix », ce bestiaire inédit, composé d’oeuvres sélectionnées dans les plus grandes collections publiques et privées du monde entier, montre à l’évidence que Delacroix demeure encore de nos jours un génie incompris, sauvage et fantastique.

Arlette Sérullaz et Edwart Vignot nous accompagnent dans cette promenade inédite consacrée à toutes sortes d’animaux, attendus et inattendus.

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