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Vivre et laisser mourir

05 Juin - 01 Juil 2007

«Vivre et laisser mourir» rassemble 17 peintres de la nouvelle scène française qui assument de manière décomplexée l’image et la représentation en peinture sans se cacher derrière le fétichisme de la matière ou de la manière propre à leurs prédécesseurs.

Communiqué de presse
Céline Berger, Benjamin Bozonnet, Aurélie Brame, Sylvie Denet, Anthony Faroux, Soazic Guezennec, Yves Gobart, Hervé Ic, Caroline Lejeune, Iris Levasseur, Xavier de Maisonneuve, Marc Molk, Olivier Passieux, Florence Reymond, Franck Rezzak, Ciro Rizzo, Raphaël Vincenot
Vivre et laisser mourir
D’après une proposition de Michel Castaignet«Vivre et laisser mourir» rassemble 17 peintres de la nouvelle scène française qui assument de manière décomplexée l’image et la représentation en peinture sans se cacher derrière le fétichisme de la matière ou de la manière propre à leurs prédécesseurs.
Certains d’entre eux commencent déjà à être connus du grand public alors que d’autres ne le sont que d’un milieu averti mais tous présentent cette même fraîcheur picturale qui les classe d’emblée parmi les incontournables de notre époque.

L’imagerie franche de ces artistes s’étend du paysage onirique ou réel jusqu’aux scènes de genre et d’actualité. A travers cette exposition riche et variée, on se rend compte que le fil conducteur n’est pas tant cette même qualité d’exécution que la manière commune qu’ils ont d’appréhender le réel avec un souci d’objectivité. Nous sommes devant une peinture de la référence dont le cœur est documentaire plutôt qu’imaginaire. Ils peignent leur époque à partir de ses traces et ne sont nullement dans l’idéalisation de ce que devrait être le présent. C’est une peinture du «vivre», et naturellement elle a bien compris que pour cela, il fallait «laisser mourir».

Le titre fait écho à une exposition éponyme de 1965 qui surprit le monde de l’art qui pensait alors la peinture moribonde ou engoncée dans un formalisme mortifère. A une époque où la rayure fait de nouveau force de loi, l’espace Eugène Beaudouin crée la surprise en nous montrant le vitalisme d’une peinture empreinte de poésie, de force et de subtilité.

Un catalogue paraît à cette occasion en co-édition avec les Editions du Lapin-Lièvre.

 

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