Sandryne Dethier Commarmond
Visages, Travailleurs silencieux
La série est composée d’images en noir et blanc et en couleurs, où s’entrelacent l’intime et le collectif, les gros plans sur des visages et les portraits de plein pied. L’être humain reste le centre de sujet, de la surface de la peau à la pudeur du silence intérieur.
Cette oeuvre sensible rend hommage au travail et à l’humain: de l’horloger au ministre, du compagnon du devoir à l’aristocrate mécène, du bûcheron au pianiste ou à l’archiviste, chacun est saisi dans cette concentration particulière à son métier, face à lui-même dans le silence de son travail.
«Il s’agit de rencontres avec le «visage de l’autre», au-delà des apparences, de la surface des choses, par des cadrages rapprochés qui me permettent de cerner l’autre au plus près. Avec mon Hasselblad, je cherche à plonger dans le rapport entre l’être et la surface de l’être, incarnée par la peau mais aussi par le travail.»
Vernissage
Le 7 juillet 2011.
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