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Si un jour je te quitte je te garderai en moi à nu à vif à jamais

Communiqué de presse
Compagnie à fleur de peau
Si un jour je te quitte  je te garderai en moi à nu à vif à jamais, Villa


Horaire : 20h30 (mercredi, vendredi, samedi), 19h30 (Jeudi) suivi d’un échange avec les artistes, 15h (dimanche)
Durée : 30 min (Si un jour je te quitte je te garderai en moi à nu à vif à jamais) et 50 min (Villa)

— Conception et chorégraphie : Denise Namura et Michael Bugdahn (Villa), Michael Bugdahn (Si un jour je te quitte je te garderai en moi à nu à vif à jamais)
— Interprétation : Michael Bugdahn, Julien Lubek, Ana Mariolani, Danila Massara, Denise Namura et les invités Farid Bentoumi, Bruno Brazete et Patrice Gallet

— Musique : Heitor Villa-Lobos et Jacques Brel

— Textes, éclairages et réalisation bande son : Michael Bugdahn

Un an après avoir fêté les 20 ans de leur compagnie, Denise Namura et Michael Bugdahn proposent une soirée composée de deux pièces courtes. L’âge de raison ? En tout cas une nouvelle occasion de se questionner sur le temps et pérennité des choses.

Villa (2009)
Dans cette nouvelle création, les deux chorégraphes explorent les thèmes de la mémoire et des traces, des rêves, de l’identité et de l’intime. Ils s’inspirent des musiques du grand compositeur brésilien Heitor Villa-Lobos dont 2009 marque le 50ème anniversaire de la mort, et mêlent comme à leur habitude danse et théâtre pour livrer une chorégraphie empreinte d’émotion et d’humour.

Si un jour je te quitte je te garderai en moi à nu à vif à jamais (2008)
Au départ conçue comme un exercice de style sur l’absence, cette pièce devint très vite une plongée dans les profondeurs les plus intimes de l’être. Affrontement entre moi et moi-même. C’est également une réflexion poétique sur les côtés masculin et féminin présents en chacun nous. Leur complémentarité, leurs contradictions et conflits. Que fait l’individu vis-à-vis des deux êtres qui l’habitent ?