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Quick 2050 : des écoles imaginent les scénarios du futur

07 Mai - 29 Mai 2011
Vernissage le 07 Mai 2011

A quoi ressemblera Quick dans trente ans ? La marque donne carte blanche à des étudiants d’architecture et de design pour imaginer son avenir à travers une exposition présentée au Via. Un exercice de prospective créatif qui interroge nos modes et nos stratégies de consommation.

Communiqué de presse
Adrien Leroy, Arnout De Sutter, Maarten Baert…
Quick 2050 : des écoles imaginent les scénarios du futur

Cette exposition s’inscrit au terme d’un partenariat collaboratif conventionné entre le groupe Quick et dix écoles d’architecture et de design, en France et en Belgique, coordonné par le Via.

Pendant un semestre, les étudiants, encadrés par leurs professeurs, des collaborateurs du groupe et des intervenants extérieurs, ont imaginé le futur de l’entreprise. Et même plus : par le truchement de leur discipline (architecture, identité visuelle, packaging, stylisme, nouveaux services, goût et design culinaire), ils en ont écrit l’histoire. Ou en tous cas, une histoire possible.

La marque a aujourd’hui 40 ans. Mais plus que de célébrer en grandes pompes un anniversaire (joli prétexte, somme toute), il s’agit surtout pour elle d’aller à contresens de son mode de fonctionnement commercial raisonné, pour plonger, sans restriction aucune, ni a priori, dans le futur. Un exercice de prospective particulier, d’anticipation : l’élaboration fictive d’un potentiel modèle de consommation. Car pour déterminer le goût ou la forme du burger, même en 2050, la prévision suffit. Nul besoin de jeunes esprits non plus. La date, abstraite, lointaine et très proche, est le socle d’une réflexion globale, d’un dialogue ouvert sur les mutations des pratiques sociales, urbaines, environnementales, économiques ou encore technologiques. Un beau projet, ambigu mais réjouissant. D’abord parce que la marque est industrielle et agroalimentaire. Ensuite parce que ses enseignes sont abordables et remportent une certaine adhésion populaire (plébiscitée et simultanément décriée). De ce fait, elle détient un pouvoir économique et social non négligeable. Et fait assez rare, elle le soumet à d’autres, le lâche, acceptant un certain degré de remise en question, pour bâtir des perspectives critiques.

Les scénarios imaginés par les étudiants, leurs œuvres de fiction, sont ici rassemblés selon quatre thématiques : production et approvisionnement, lieu, temps pour finir sur le goût au fil d’un parcours culinaire. Ils abordent des questions complexes avec beaucoup d’urgence. Comment assurer la subsistance ? Comment produire, distribuer et manger ? Mais surtout : qu’est-ce qui, au-delà de la pomme de terre, grésillera dans les friteuses ? Quelles expériences nous transmettrons-nous ? Quels enjeux pour quel avenir ? Quelles pratiques et quels usages ?

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