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Pierre Ardouvin. Déjà vu

Ardouvin crée des installations aux mises en scène pauvres qui reposent sur un sentiment de déjà-vu en utilisant des symboles de la culture populaire plutôt ringards mais connus de tout un chacun : auto-tamponneuse de fête foraine, baloche, karaoké, variété, lampion… Une mémoire reconstituée qui instaure un climat nostalgique.

— Auteurs : Pierre Giquel, Hans Ulrich Obrist, Élisabeth Wetterwald
— Éditeurs : Galerie Chez Valentin ; Le Palais de Tokyo, Paris / L’Espace des arts, Colomiers / Crac Languedoc-Roussillon, Sète / Le Creux de l’enfer, Thiers
— Année : 2004
— Format : 17 x 24 cm
— Illustrations : nombreuses, en couleurs et en noir et blanc
— Pages : 130
— Langues : français, anglais
— ISBN : 2-908516-59-4
— Prix : 15 €

Présentation

Ardouvin crée des installations aux mises en scène pauvres qui reposent sur un sentiment de déjà-vu en utilisant des symboles de la culture populaire plutôt ringards mais connus de tout un chacun : auto-tamponneuse de fête foraine, baloche, karaoké, variété, lampion … Une mémoire reconstituée qui instaure un climat nostalgique.

(Texte publié avec l’aimable autorisation de paris-art.com — Tous droits réservés)

L’artiste
Pierre Ardouvin est né en 1955. Il vit et travaille à Montreuil.

Les auteurs
Pierre Giquel est écrivain et critique d’art. Il enseigne à l’école des beaux-arts de Nantes.
Hans Ulrich Obrist est commissaire d’expositions, notamment pour l’Arc au musée d’art moderne de la Ville de Paris.
Élisabeth Wetterwald est critique d’art. Elle est l’auteur de nombreux texte de catalogues et d’articles (Artpress, NU, Parachute, Zérodeux), dont certains ont été publiés dans le recueil Rue sauvage (Les Presses du réel, 2003).