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Nuit Blanche (Lost In Translation)

03 Avr - 03 Mai 2004

Un nouveau lieu à Paris, en provenance directe de San Francisco. Des artistes américains et français. Première exposition autour de la différence des cultures et la difficile adaptation. Des œuvres de petite dimension. Dessins, peintures, photographies, 3D et mixed media.

Communiqué de presse
Leo Bersamina, Valérie Blin-Kaddour, Michael Campbell, Kevin Chen, César Cofone-Dadamo, Nilus de Matran, Steven Elliott, Coby Ellison, Amanda Hughen, Marion Jannot, Philippe Jestin, Jeff King, Melora Kuhn, Mary Lamboley, René Lanié, Jeff Morris, Maria Park, Kate Randall, Albert Reyes, Jesse Simon, Jennifer Starkweather, Rebecca Szeto, Amy Tomson, Megan Wilson
Nuit Blanche (Lost In Translation)

Mission
ampersand Рparis se veut ̻tre un lieu de rencontre entre les artistes Americains emergeants et un public Fran̤ais et, malgr̩ la distance, un catalyseur entre ces deux communaut̩s artistiques.

Instigateur artistique, ampersand – paris vise a offrir des opportunités et à créer un dialogue dynamique entre artistes Français et Américains et les amateurs d’arts de par le monde.

Douglas Hutton et Bruno Mauro de Ampersand International Arts (San Francisco, Californie) ont le plaisir d’inaugurer le concept Ampersand en France, avec leur première exposition à Paris: «Nuit Blanche (Lost In Translation)».
«Nuit Blanche (Lost In Translation)» est une exposition d’art contemporain franco-américain, itinérante et collective, qui présente une série d’œuvres de petites dimensions crées par 24 artistes: dessins, peintures, photographies, travaux mixed media et 3D.
Le titre «Nuit Blanche (Lost In Translation)» évoque la volonté partagée d’exprimer cet état d’âme, ce sentiment, cette sensation engendrés par l’inadéquation des cultures, des oeuvres, des êtres avec eux-mêmes. Les différents modes de représentation présents dans cette exposition manifestent et explorent l’espace du non-dit, le potentiel phénoménal de l’œuvre d’art à traduire l’indicible. Ces travaux dévoilent une nécessité, une urgence symptomatique à détourner l’ordinaire afin de le soumettre à un processus de sublimation. Ils transitent vers cet état de grâce qui se situe entre l’objet physique et les eaux troubles de l’émotion. Les artistes de «Nuit Blanche (Lost In Translation)» sondent les moyens par lesquels l’art revisite l’immatériel à travers ses procédés.

«Somme toute, l’artiste n’est pas seul à accomplir l’acte de création car le spectateur établit le contact de l’œuvre avec le monde extérieur en déchiffrant et en interprétant ses qualifications profondes et par là ajoute sa propre contribution au processus créatif.»
Marcel Duchamp, Le Processus Créatif

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