LIVRES

Neverending — Obsession to Obsession

Nouvelle revue d’art dont le fil conducteur n’est pas la critique ou la pédagogie. Une approche plus personnelle qui donne libre expression au coup de cœur. Une approche pour appréhender l’art contemporain avec ses sentiments. Une vision qui réunit un groupe éclectique d’artistes, d’éditeurs et de collectionneurs.

Information

  • @2006
  • 2.
  • \15€
  • E138
  • Zoui
  • 4français / anglais
  • }210 L - 280 H

Présentation
Bori Son
Neverending — Obsession to Obsession

Depuis deux ans déjà, Bori Son et Simon de la Porte diffusent les images qui les séduisent via le portfolio en ligne Jhon Magazine. Témoignage d’une effervescence, lieu de réunion, symbole de l’accessibilité du web, Jhon s’est en tous les cas montré depuis ces deux années un médium presque unique par sa pérennité et sa nécessité. Nourris aux livre d’artiste, le besoin s’est fait vite ressentir de donner à certains artistes une place à part entière : est née de là la collection de monographie, donnant lieu à des séries de Serge Kliaving, Ichiba Daisuke, ou Mathieu Renard.

En acceptant dans leurs rangs David Le Simple et en donnant naissance à Neverending, revue trimestrielle, l’objectif était d’adapter le souplesse de la communication et l’abondance d’ images rendue possible par le net à l’élégance d’une revue d’art à la fois chic et hors normes.

Toujours dans l’élan d’un enthousiasme et de rencontres, les textes s’allient aujourd’hui aux images, et création prend un air de proximité. En quatre portfolios qui ouvrent et ferment la revue, séparés par des entretiens de collectionneurs, éditeurs ou artistes et des textes, la revue donne à voir tous les cotés de la création. Le spectateur, l’auditeur et leurs obsessions donnent et y côtoient le bibliophile, le collectionneur de fanzines et leurs perles rares.

Illustration, photo ou vidéo, l’image se fait témoin de mondes à part, traversé chacun par une thématique singulière, toujours narrative. En signe visuel de leurs intentions, le graphisme d’efface, sobre et discret, pour laisser la place aux images et aux voix. À l’heure des «nerds» et autres «geeks», une place d’honneur est enfin faite à l’obsession et ses conséquences.