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Louvre is my studio, street is my museum

16 Mai - 16 Août 2009
Vernissage le 15 Mai 2009

Cette rétrospective présentera environ 90 oeuvres représentatives de toutes les périodes de l’artiste ainsi que de nouvelles installations. Il interroge plus particulièrement la relation êtres humains et animaux en analysant le modèle culturel occidental et le modèle du monde animal qui vit en harmonie avec la nature.

Communiqué de presse
Braco Dimitrijevic
Louvre is my studio, street is my museum

Au début des années 1970, Braco Dimitrijevic gagne une reconnaissance internationale avec ses séries des Casual passer-by (passants ordinaires), d’immenses portraits photographiques d’anonymes placardés sur des façades et des panneaux dans les grandes villes d’Europe et des Etats-Unis.

Dès le milieu des années 1970, il commence à intégrer à ses installations des peintures originales, empruntées dans les collections des musées.
Les Triptychos Post Historicus, réalisés dans de nombreux musées à travers le monde, constituent une « harmonieuse synthèse » entre l’art, les objets du quotidien et des fruits.

Le titre donné par l’artiste à son exposition Louvre is my studio, street is my museum (Le Louvre est mon atelier, la rue est mon musée) reflète bien la double nature dialectique et transgressive de son oeuvre.
Au cours des 30 dernières années, Braco Dimitrijevic a réalisé pas moins de 500 Triptychos Post Historicus, avec des peintures allant d’une vierge de Léonard de Vinci au Carré rouge de Malévitch, dans de nombreux musées prestigieux parmi lesquels
la Tate Gallery, le Louvre, le Centre Pompidou, le Musée d’Orsay, le Guggenheim de New York, ainsi que le Russian State Museum de Saint Petersbourg.

Cet été, c’est avec les collections du Musée d’Art Moderne de Saint-Etienne Métropole qu’il réalisera de nouveaux Triptychos Post Historicus.
Au début des années 1980, Braco Dimitrijevic réalise des installations dans lesquelles sont confrontés des animaux et des objets ou des oeuvres d’art. Sont alors mis en parallèle deux modèles culturels, le modèle culturel occidental et le modèle du monde animal qui vit en harmonie avec la nature .
Il propose une vision harmonieuse de la réalité débarrassée des classifications scientifiques rigides.

En 1998, Braco Dimitrijevic a imaginé des installations dans une vingtaine de cages de la Ménagerie du Jardin des Plantes à Paris. Plus d’un million de visiteurs avaient alors pu assister à ce troublant face à face, intitulé Paris Zoo.

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