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L’Europe, c’est nous. Familles d’ados

27 Avr - 13 Mai 2013
Vernissage le 27 Avr 2013

Le photographe Uwe Ommer et la journaliste Régine Feldgen sont partis à la rencontre de familles et leurs adolescents de 40 pays européens. Pour illustrer et documenter leur vie, leur optimisme pour l’avenir, leurs passions, leurs rêves et relations au monde actuel. Un regard positif sur la jeune génération.

Uwe Ommer, Régine Feldgen
L’Europe c’est nous! Familles d’ados en Europe

Dans 40 pays européens, le photographe Uwe Ommer et la journaliste Régine Feldgen sont partis à la rencontre des familles d’ados pour illustrer et documenter les idées et les espoirs de deux générations.
— Que pensent les ados de leurs parents, et vice versa?
— Quelle vision ont-il de leur futur?
— Que signifie d’être européen pour cette jeune génération?

Un regard positif sur la jeune génération et une dimension européenne plus humaine. Les familles et leurs adolescents ont accueilli chez eux Uwe Ommer et Régine Feldgen et leur ont fait découvrir leur vie, leur optimisme pour l’avenir, leurs passions, leurs rêves et relations au monde actuel.

Entre 2010 et 2011, Uwe Ommer et Régine Feldgen ont photographié et interviewé 270 familles, avec environ 500 adolescents, traversé 40 pays européens et ont parcouru environ 45 000 km en voiture, bateau et avion.

L’exposition prend toute son ampleur en 2013: «L’Année européenne des citoyens».

Les images
Albanie. Tirana
Vjollca et Shefki, dans leur salon multicouleur
Inspirés par le maire de Tirana, un ancien artiste, qui a fait peindre les tristes façades des immeubles avec des couleurs audacieuses, ils ont eu l’idée d’égayer leur intérieur par une peinture pétulante!
— Vjollca était couturière, mais n’a plus de travail. Elle s’adonne à sa passion, la broderie.
— Shefki, anciennement employé à l’aéroport, est depuis trois ans sans travail.
— Dejvit pose devant les omniprésents portraits de sa grand-mère.
«Quand je pense à l’U.E, j’ai envie de croire à la fin du chômage. Si je pouvais choisir un pays pour y travailler, j’irais en Allemagne.»

Lichtenstein. Schaan
Markus et Ursula dans l’atelier d’Ursula avec sa poupée fétiche «Flotti».
— Ursula était institutrice en école maternelle et prof de gym. Ses enfants l’ont inspirée pour la création de ses poupées géantes.
— Markus est ingénieur en construction mécanique dans le domaine du textile.
Il court le marathon une ou deux fois par an.
— Pascal, Jeannie et Benjamin en compétition de vol!
«Ma mère est très créative comme on peut le voir, je trouve ça un peu exagéré… ses poupées sont partout dans l’appartement!!!» Benjamin.

Estonie. Ile de Kihnu
Marge et Aliis
— Marge, propriétaire de 13 moutons et d’un side-car ukrainien. Elle est au chômage. Elle nettoie les poissons de son frère pêcheur, tricote et tisse ses vêtements (chaussettes et jupes) selon la tradition à Kihnu. Comme la plupart des femmes dans cette île où les hommes sont soit à la pêche soit à l’étranger, elle utilise un side-car pour ses courses quotidiennes.
Aliis au jardinage.
«J’aide ma mère à repriser les filets de pêche et je garde les moutons».

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