ÉCHOS
03 Déc 2015

L’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy entre dans le dispositif «Admission Post Bac»

PCommuniqué de presse
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Dès janvier 2016, les candidats qui souhaitent étudier à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy en septembre 2016 pourront choisir l’école dans leurs vœux sur le portail APB (Admission Post Bac). Un dispositif créé pour simplifier les démarches de pré-inscription des bacheliers.

Attentive à permettre à tous d’avoir les même chances d’accès aux grandes écoles d’enseignement artistique, l’Ecole nationale supérieure d’Arts de Paris-Cergy intègre le dispositif «Admission Post Bac» (APB). Créée pour simplifier les démarches de pré-inscription des bacheliers et futurs bacheliers, cette plateforme regroupe sur un seul site un grand nombre de formations supérieures.

Dès janvier 2016, les candidats qui souhaitent étudier à l’Ensapc en septembre 2016 pourront ainsi choisir l’école dans leurs vœux sur le portail APB.

La décision de l’Ensapc de rejoindre la plateforme APB s’inscrit également dans le cadre des «Assises de la jeune création» initiées par Fleur Pellerin au printemps dernier. Dans le rapport publié au début de l’été, la première des «mesures en faveur de la formation, de l’insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs» préconisait la mise en ligne sur APB de l’offre de formation artistique sous tutelle du Ministère de la culture et de la communication.

Plateforme de production et de savoir, l’Ensapc occupe une place à part dans le paysage des écoles. Entièrement tournée vers l’accompagnement individuel de chacun de ses étudiants, elle est soucieuse de favoriser la diversité dans son recrutement. Son entrée dans APB recoupe des enjeux politiques, sociaux, éthiques, et résonne avec ses préoccupations: il s’agit ainsi d’élargir la base sociale du recrutement en première année et de réduire les inégalités sociales. Ce paysage social et culturel particulièrement contrasté est une force et une chance pour l’école. La multitude et la rencontre des récits individuels déplacent les frontières des pratiques et ouvrent l’Ensapc à de nouveaux territoires.

Alors que l’on sait combien l’art est un marqueur social et combien l’accès à la création peut être ségrégatif, il s’agit de donner la possibilité à ceux qui ne l’ont pas de se penser comme de futurs étudiants en arts et, donc, comme de futurs artistes, auteurs ou créateurs.

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