ART | EXPO

Human Being, Black Sound, Black Human, Sound Being, Sound Human, Black Being

07 Sep - 21 Oct 2018
Vernissage le 06 Sep 2018

L’exposition « Human Being, Black Sound, Black Human, Sound Being, Sound Human, Black Being » à la galerie parisienne Les filles du calvaire rassemble autour des sculptures d’Emmanuel Saulnier des œuvres de Steeve Bauras, Téo Bétin, François Bianco et Sébastien Gschwind. Des poèmes de T. S. Eliot inspirent cette présentation collective autour du thème évolutif « Human Being / Black Sound ».

L’exposition « Human Being, Black Sound, Black Human, Sound Being, Sound Human, Black Being » à la galerie Les filles du calvaire, à Paris, réunit les sculptures d’Emmanuel Saulnier, Téo Bétin, François Bianco et Sébastien Gschwind et les photographies de Steeve Bauras.

Emmanuel Saulnier poursuit l’exploration du thème « Human Being / Black Sound »

Emmanuel Saulnier a rassemblé autour de ses propres œuvres celles de quatre jeunes artistes français, Steeve Bauras, Téo Bétin, François Bianco et Sébastien Gschwind, guidées par un thème évolutif : « Human Being / Black Sound ». L’exposition s’inspire librement de l’ensemble poétique intitulé Four Quartets de l’écrivain américain T. S. Eliot, quatre poèmes dont la sonorité, la métrique et le rythme sont marqués par les quatre éléments et qui, s’apparentant à la musique, suggèrent un espace et une énergie humaine particuliers.

Les œuvres de S. Bauras, T. Bétin, F. Bianco et S. Gschwind réunies autour de celles d’E. Saulnier

Entre sculpture et dessin, la pratique d’Emmanuel Saulnier, qui a pour matériau de prédilection le verre, explore les possibilités de la matière et des thématiques comme la mémoire collective, la présence et la disparition. Egalement hybride, le travail de François Bianco se déploie entre la sculpture et le son dans ses œuvres récentes comme Strato sentiero, Mélopée sous la lame et Fata bromosa. Considérée comme un élément sculptural à part entière, la matière sonore permet l’élaboration d’un parcours immersif composé de l’ensemble de l’environnement physique, autant visuel que sonore.

Les sculptures de Sébastien Gschwind développent elles aussi un rapport poétique à l’espace en assemblant des matériaux et des techniques hétérogènes : le lien ainsi créé entre des éléments qui semblent à première vue éloignés produit des assemblages à la fois physiques et métaphoriques. Mêlant assemblages d’objets et d’éléments architecturaux, et photographies les sculptures de Téo Bétin comme Villa I et 4th Floor Building portent une interrogation sur le manque, sur les espaces qui nous environnent.

AUTRES EVENEMENTS ART