ÉCHOS
01 Jan 2002

25.10.07. Quand le Louvre se modernise

Avec Henri Loyrette, le Louvre retrouve une seconde jeunesse. Les œuvres contemporaines viennent s’unir aux œuvres classiques, soufflant un vent d’air frais dans un musée revivifié.

Par Cécile Strouk

L’arrivée d’Henri Loyrette en 2001 à la tête du vieux musée a permis de réactiver l’idée d’une modernisation. L’une des premières manifestations de ce méli-mélo artistique se nomme Athanor. Cette œuvre de 11 mètres est la création d’Anselm Kiefer, artiste contemporain allemand.
A l’escalier nord de la Cour carrée du Louvre, entre les salles du Sumer et celles d’Egypte, le public peut désormais admirer un corps humain couché à terre d’où surgit un grand tournesol.
Symbole de changement, cette production artistique trouve place dans un endroit significatif, qui incarne la renaissance et la résurrection. Deux autres sculptures du même artiste, intitulées Danaë et Hortus conclusus, ornent, quant à elles, les niches du Louvre.

Mais parce que le président-directeur du Louvre souhaite donner un coup de fouet conséquent à ce glissement de l’art contemporain dans l’art classique, il a aussi fait appel à deux autres créateurs de talent. L’Américain Cy Twombly et le Français François Morellet. Ils devront respectivement s’occuper de l’imposant plafond de la salle des bronzes et de la création d’un vitrage pour l’escalier Lefuel.

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