Par Pascaline Vallée
Peu après la mort d’Arman le 22 octobre 2005, ses deux filles aînées Marion Moreau et Anne Fernandez avaient décidé de dédier une fondation à son œuvre. Problème: de l’autre côté de l’Atlantique, la dernière femme de l’artiste revendique l’exclusivité de son héritage, et s’oppose à l’ouverture.
Quelques affrontements et tribunaux plus tard, la Fondation ARMAN (Arman Research Media Art Network) vient finalement d’être légitimée par le Tribunal de Grande Instance de Paris.
Dès aujourd’hui, les héritières vont donc pouvoir concrétiser les nombreux projets présentés en novembre dernier à Paris. A venir donc, publications, expositions, mais aussi constitution d’une base de données de près de 10 000 documents. > Fondation ARMAN
5, rampe de la Treille
1204 Genève, Suisse.
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